L’hiver trop long et le printemps trop froid, le visage tiré des Parisiens, les yeux cernés et le teint blafard, le regard fermé et la bouche sans sourire, marcher dans les rues et ne rien voir, l’un à côté de l’autre, bien isolé dans soi, petites bulles hermétiques qui glissent sans possibilité de rencontre. Tension. La tension de l’entre-deux-tours, une …