C’était le 14 juillet, nous partions en Normandie. Nous étions une vingtaine et je faisais figure d’exception. Ils s’étaient rencontrés au Venezuela près de vingt ans auparavant et je promenais ma frenchitude au milieu de Brésiliens, d’Argentins et de Vénézuéliens ; les rares Français avaient habité un temps à Caracas. Tous habitaient désormais Paris. Nous nous étions répartis dans les voitures …