Cala Tarida, 2020 – © Aurelia Gantier La morsure du soleil sur la plante des pieds, la caresse féline du vent, le toucher poisseux d’une peau salée, des jambes pailletées de sable, un corps à l’abandon sur une fouta, un autre flottant, les bains de mer transparents, l’odeur âcre des bords de mer, la cour incessante des cigales, les aiguilles de …