Lorsque je suis sortie, Kyoto transpirait l’humidité et la moiteur printanière. La pluie avait cessé et mes pas résonnaient dans des ruelles étrangement désertes. Les serveurs se faisaient discrets derrière les portes fermées. Seules les lanternes de papier et les vitrines réchauffaient la nuit tombante. Je marchais droit devant ; je savais où je me rendais. Kanji et Kana étant pour moi les deux …