J’attendais à l’accueil du rez-de-chaussée, pas vraiment rassurée. Il était en retard – non mais s’il a oublié, ce n’est pas grave : on peut tout aussi bien annuler. Je me dégonflais. Je l’avais contacté après avoir terminé son livre. Les deux derniers mots étaient sans équivoque : à suivre. La vengeance du loup de Patrick Poivre d’Arvor s’inscrivait dans la lignée des …