J’aime le mercredi. J’avais vingt-neuf ans et je commençais une thérapie. Tous les mercredis matin, je sortais de la séance purifiée de mes lourdeurs psychiques et je me disais, ça y est, c’est le nouveau jour, une nouvelle Aurélia, à partir d’aujourd’hui tout va bien se passer, tout va se dérouler comme je l’ai toujours souhaité. Bien sûr, l’état d’apesanteur …